Pour se loger à Lyon, le choix est réellement vaste. L’offre d’hébergement s’étend de la simple auberge de jeunesse au château à la campagne en passant par les hôtels de grand luxe, les chambres d’hôtes ou les hôtels-boutiques.
Les hommes d’affaires ont le choix entre un séjour à l’hôtel en ville ou la location d’un appartement meublé et équipé, afin de vivre à leur rythme et profiter des facilités offertes gracieusement par lu grand nombre d’établissements.
Lyon possède quatre hôtels de grand luxe fréquentés massivement par les étrangers, en majorité des Australiens, des Américains ou des Chinois. L’hôtel Royal-Bienvenue, la Villa Florentine, la Cour des Loges et le Sofitel Lyon Bellecour sont les fleurons de cette infrastructure d’accueil qui reçoit pas moins de cinq millions de visiteurs annuellement.
Quant aux backpackers, ils peuvent choisir une chambre d’hôtes ou l’un des nouveaux « hostels » qui ont fait leur apparition dans l’ancienne capitale des Trois Gaules. Ainsi, les jeunes de moins de trente ans pourront profiter d’un bon rapport qualité/prix, et apprécier la douceur de vivre qui enveloppe cette ville et sa région. Assurément, Lyon a su se mettre au diapason des autres grandes métropoles en offrant cette formule que les voyageurs, toutes catégories sociales confondues, trouvent attrayante.
Le visiteur attiré par la campagne lyonnaise ou le pays Beaujolais pourra opter pour la vie de château. En effet, le rêve devient réalité à Château de Tanay ou Château Pizay, par exemple, des bâtisses médiévales transformées en hôtels élégants entourés de paysages remarquables. Un tel séjour permet de combiner la détente et la gastronomie et de retrouver la pureté et le dynamisme du terroir de France.
Ceux qui rêvent d’un séjour insolite ne seront pas déçus. La région lyonnaise offre des hébergements atypiques qui ne laisseront pas les visiteurs indifférents. Il est possible de dormir à bord d’une péniche, d’une roulotte, ou même de retrouver l’ambiance des internats en passant la nuit dans le dortoir d’un collège.
